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le puzzle de ma vie

le puzzle de ma vie
  • +de 60ans mais toujours un coeur d'ado dans un corps de senior ; des tranches de ma vie , de mon travail , de mes amours , de mes sports , de mes voyages avec un zest d'humeurs et de sexe pour relever le tout
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le puzzle de ma vie
19 avril 2022

le localisme , une vraie fausse solution

En cette période électorale, difficile pour nos candidats de faire l'impasse sur l'environnement.

Et chacun de laver plus vert que vert ! La solution pour certains serait le localisme, en clair rapatrier en France toutes nos productions pour privilégier les circuits courts. En effet, selon les derniers chiffres du GIEC, 51% de notre pollution est importée. Donc, supprimons les importations et on aura ainsi résolu le problème du réchauffement climatique en France . A priori, imparable mais c'est n'importe quoi.

1/ Lorsque le GIEC parle de pollution importée, il considère toutes les rejets générés par l’importation, de l'impact de sa création dans le pays producteur au transport pour l'amener en France. Au niveau mondial, la part de la pollution générée par les transports est de 25% de la pollution totale. Donc, en relocalisant la production, on supprimerait au plus 25% de cette pollution importée mais on en nationaliserait 75%. Et il faut aussi tenir compte des transports supplémentaires que générerait cette relocalisation qui, selon ce candidat, serait répartie sur tout le territoire. Difficile en effet de massifier les transports sur de petites structures. Donc on substituerait des trains de marchandises par des camions. Pas sûr qu'à la fin, il y ait un véritable progrès.

2/ Dans nos importations, on trouve une part de matières premières (12%) dont il sera bien difficile de se passer. Cette part devrait en outre augmenter très significativement car les produits manufacturés que nous importons très majoritairement aujourd'hui contiennent des matières premières (minerai de fer, silice, bauxite, nickel coton ...) dont nous ne disposons pas sur le territoire métropolitain.  Si l'on veut produire en France, il faudra donc importer toutes ces matières premières et cela réduit encore l'intérêt du localisme comme seule solution.

3/Le localisme aura un cout plus élevé que les importations pour au moins 2 raisons : on va substituer à une main d'œuvre bon marché une main d'ouvre plus chère. Cela peut se compenser par des investissements mais avec à la clé moins d'emplois. Mais en plus dans bon nombre de secteurs, on va perdre le bénéfice d'économies d'échelle avec des structures de production plus petites car on ne pourra pas compter sur les pays dont on a rapatrié les productions pour écouler nos marchandises, même estampillées "made in France". Les Français ont ils les finances assez solides pour supporter des hausses de prix qui seront significatives ? Un peu contradictoire avec une autre ligne du programme de ce même candidat qui veut défendre le pouvoir d'achat.

4/ Enfin, difficile de penser que le localisme va résoudre le problème de la pollution importée …par les vents ! Cela me fait penser aux propos des politiques à propos du nuage radioactif de Tchernobyl qui aurait "contourné" la France. La réduction de la pollution ne peut s’inscrire que dans une politique régionale.  Or, nombre des importations que le localisme prétend relocaliser proviennent de nos voisins. Pas sûr qu'ils soient dans un état d'esprit très ouvert à des collaborations si on leur supprime leurs exportations.

En conclusion, même si je pense qu'une relocalisation de certaines activités est nécessaire, en particulier pour sauvegarder les intérêts supérieurs de la nation, le localisme ne peut être présenté comme la solution à nos problèmes d'environnement.

 

 

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23 décembre 2019

bonne année , pleine de bonheur , de treks et d'un peu de s......

voeux ladakh

24 novembre 2019

senior et désir

Le sexe allonge l'espérance de vie, parait-il .Quand on avance en age , on devient plus réceptif à ce genre de message !

J'ai donc parcouru la documentation sur le sujet mais le challenge est élevé ; la préconisation générale parle de 12 rapports par mois

ou de 100 par an. Déja , il faut avoir les moyens car , à 4€ en moyenne le cachet de viagra , cela représente un budget conséquent.

On peut certes abaisser la facture avec un générique mais ce n'est pas le seul problème. Il faut une partenaire , prête à partager l'objectif avec vous.

Et là ce n'est pas gagné .... Malgré la pertinence des arguments , la première réaction serait plutôt du style : "tu veux faire quoi?" Et même si la porte

s'entrouve , la négociation s'annonce difficile car la réponse sera du style : "d'accord , mais pas plus d'une fois par mois" . Et faire l'amour à date fixe n'est

pas le meilleur stimulant qui soit.

Si l'on veut rester sur l'objectif , cela signifie donc de trouver d'autres partenaires , mais pas simple lorsque l'on est senior ! Les plus jeunes vous accuseront

de pédophilie , les entre-deux recherchent plus un mari qu'un amant (ou quite à avoir un amant sélectionne l'étalon que nous ne sommes plus) , et les

seniors vous recommandent la meme périodicité que votre partenaire habituel . Il faudrait donc 12 partenaires pour tenir l'objectif. Je crains

alors que la gestion du calendrier ne devienne si complexe que le stress généré détruise le bénéfice de l'activité sexuelle. 

Bref , une équation pas simple à résoudre mais le seul fait d'y penser vous fait déja rester jeune 

et c'est cela l'important.

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21 novembre 2019

Ladakh , suite et fin

Trek un peu compliqué cette année car je suis parti avec une tendinite au pied à laquelle s'est rajouté un tour de rein en manipulant trop rapidement mon sac de trek (21kg!) et la neige s'est en outre invitée en abondance dès les premiers jours , transformant le passage des hauts cols (5400m) en course d'alpinisme ....en hivernal(vue2) ; Alors physiquement cela a été rude ; j'ai même imaginé un jour devoir finir l'étape  à quatre pattes car mon dos était totalement bloqué et refusait obstinément de repasser en mode vertical !

Mais au-delà des douleurs physiques qui ont un peu gaché mon plaisir , que retenir ?

C'est une expérience unique dans un milieu très influencé par le bouddhisme : innombrables monastères souvent magnifiques (vue1), équipe 100% bouddhiste avec repas végétariens et pas d'alcool pendant 3 semaines , beaucoup de soldats car la région est convoitée par la Chine voisine et par le Pakistan mais partout des gens accueillants et heureux de partager un peu de leur temps avec vous , malgré la difficulté de leurs conditions de vie.Je déconseille néanmoins la spécialité locale du thé salé au lait de yak...

Du point de vue trek , compte tenu de la neige et de mes problèmes physiques , on est revenu par les vallées au lieu de remonter sur les hauts cols. Le paysage est très minéral (vue3) , surtout que l'été avait été caniculaire et avait repoussé la végétation à plus de 5000m d'altitude. L'armée a en outre utilisé beaucoup de chemins muletiers pour les transformer en pistes. La circulation des véhicules est certes bien rare (environ 1 4x4 toutes les 2 heures ) mais il y a moins de charme à marcher sur une piste poussiéreuse plutôt que sur des petits chemins , surtout si l'on est derrière les 5 chevaux qui assurent la logistique du trek.

Vous vous doutez à mes commentaires que ce n'est pas le trek dont je garderai le meilleur souvenir ; et pourtant je vous le recommande :

-pour la chaleur des contacts que j'ai pu avoir avec mon équipe et dans les villages ;

-pour la beauté insolite des paysages et de ces villages perdus dans les montagnes en particulier

-mais surtout car c'est une région en grand danger car très affectée par le changement climatique qui réduit la production de laine des yaks, chèvres et moutons , principale ressource des bergers ; ce même  réchauffement climatique raréfie l'eau , poussant à l'exode les villageois et rendant l'eau impropre à la consommation dans les grandes villes ; l'ouverture des pistes par l'armée prive également la région de nombreux itinéraires de trek qui procurent normalement un complément de revenus importants à de nombreux agriculteurs (guides, cuisiniers, muletiers...) . Alors il y a urgence à visiter cette région encore si délicieusement authentique.

A bientot pour de nouveaux periples (une fois mon corps réparé!)

des monastères extraordinaires

des cols bien enneigés

un univers bien minéral

25 janvier 2019

nouveau trek : découverte du Ladakh

2019 , c'est parti et l'envie de repartir sur de nouvelles aventures aussi.

J'ai un peu hésité cette année  : repartir sur un trek classique de haute altitude ou , compte tenu de mes 65ans désormais acquis, redescendre un peu pour combiner trek et culture . Mais le fait d'avoir passé 3 semaines en Bolivie entre 4000m et 5000m sans problème particulier m'a décidé à repartir vers la très haute altitude, d'autant plus que j'étais revenu un peu frustré de mes péripéties boliviennes . La culture attendra encore un peu !

alors en 2019 , cap sur le ladack ; considéré longtemps comme la mecque des trekeurs , le ladakh a souffert de l'ouverture de nombreuses routes qui ont enlevé beaucoup d'interet aux itinéraires classiques . mais des agences de trek ont recherché de nouveaux passages qui permettent de s'exonerer de la civilisation qui reste néanmoins dans cette région un concept relatif : cartes sim occidentales non reconnues dans cette région et de toutes façons ,absence de réseau sur 90% du trek .

L'occasion pour moi de "finir" la découverte de l'hymalya car après la Kirghizie au Nord et  2 fois le Népal au centre , il me manquait une incursion au sud pour boucler la découverte de cette chaine . J'ai choisi un trek à priori "cool" : arrivée et départ de Leh à 3200m d'altitude , 4 jours d'acclimatation avec de "petites course" à 4000m puis 15 jours entre 4000 et 5500m point culminant du trek mais en fait seuleulement 2 ou 3 cols au-dessus de 5000m.Principalement des journées à parcouir de longues vallées peuplées de nomades sans difficulté technique : des étapes que j'apprécie particulièrement car correspondant à mon optimum d'efficacité.

Et cela ne m'empechera pas de visiter quelques monastères boudhistes très présents dans la région puisque c'est la région où est installé le Dalai Lama (quand il ne voyage pas bien sur)

Voila : quelques photos pour vous mettre en bouche , empruntées à Internet et fon noctobre pour les photos "live" A bientot











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leh-ladakh-tour-packages-Parangh-La-Trek - Copie

 

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25 octobre 2018

La Bolivie , un petit gout d'inachevé

J'étais parti en Bolivie avec un peu d'inquiétude par rapport à l'altitude car je n'étais encore jamais parti en trek d'aussi haut directement.

L'aeroport de La Paz est en effet à .......4100m d'altitude et la ville elle-même à 3700m . Mais , hormis quelques migraines le premier soir et au premier campement à 4700m le 5eme soir , pas de trouble lié spécifiquement à l'altitude.

La mauvaise surprise est venue de la météo : 17 jours avec intempéries sur 19 de séjour , ce qui a conduit mon guide à revoir le programme . Le mauvais temps étant particulièrement concentré sur les sommets , on a limité les enchaînements de cols au ras des glaciers pour privilégier les sorties à la demi-journée avec repli sur l'alti plano pour la plupart des nuits.

Ainsi j'ai combiné montagne et tourisme , ce qui ne m'a pas empêché de passer une dizaine de fois la barre des 5000m! 

Mais cela m'a permis de passer aussi pas mal de temps au contact des habitants de ce pays puisque je me suis arrêté 2 jours dans une communauté de pécheurs sur le lac Titicaca et 2 jours dans un village de montagne , sans compter 2 jours à Sorata , petite ville au milieu de la Cordillère à attendre une éclaircie qui n'est pas venue !

Au final , une belle expérience humaine dans un pays encore très authentique mais avec beaucoup de gentillesse et de générosité de ses habitants

et une formule mixte "tourisme-montagne" que je vais chercher à reproduire pour le futur dans d'autres pays car correspondant bien à mes capacités physiques ......et à leurs limites : même pas fatigué !

Et je reviendrai en Bolivie à une autre époque pour voir ce pays ......sous le soleil!!!!! Car les paysages sont certainement grandioses ....sans nuage

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23 janvier 2018

Bolivie

C'est fait : mon choix pour 2018 s'est porté sur la Bolivie ; après 2 années en Asie , retour donc en Amérique du Sud avec un pays que je ne connais pas du tout.

Un pays déja difficile à joindre car l'altitude de sa capitale La Paz limite les vols internationaux qui y atterrissent  directement ; aucun vol direct au départ de la France ; il faut transiter  par les USA ou le Pérou par exemple , ce qui fait que le voyage est cher et long....Mais cela ne me dérange pas .....trop.

Un programme localement un peu ambitieux  vu mon grand âge . Après quelques jours d'acclimatation à La Paz et au lac Titicaca, premier trek d'une huitaine  de jours pour traverser la cordillère Apolomba située au nord du pays avec un départ proche de la frontière péruvienne. Puis j'enchaine directement avec un deuxième trek de meme durée dans la Cordillère Royale. Je n'en ressors que pour sauter dans l'avion du retour , donc pas de droit à l'erreur.

J'ai fait le choix de partir en octobre , à mi chemin entre saison sèche et saison des pluies ; je pense que je n'éviterai pas quelques jours neigeux . J'ai profité de la saison des soldes pour renforcer ma garde-robe imperméable.

Sinon , préparation as usual basée sur de la course à pied jusqu'à début juin et ensuite une alternance montagne-footing juqu'à mon départ , le lendemain du Paris-Versailles. J'attaque la saison en meilleure forme que d'habitude , n'ayant pas eu de blessure ou petit bobo cet hiver. Bref  tout roule globalement

Et il n'est pas trop tard pour

vous souhaiter une excellente année 2018.

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10 octobre 2017

souvenirs de Kirghizie

Et oui , la Kirghizie, c'est déjà fini. Un voyage passionnant , plein de couleurs , d'accueils chaleureux et de partage.

La Kirghizie est un pays de contrastes ; au nord , la population authentiquement kirghiz , un peuple montagnard qui vit de l'élevage et dont la transhumance rythme les saisons. Au sud , une population ouzbek de plaine , sédentaire et qui vit de l'agriculture. Et si le russe et l'islam sont les dénominateurs communs de ces 2 populations , l'intensité de leur pratique les différencie aussi : plus de russe et moins d'islam au nord, plus d'islam et moins de russe au sud .

Le pays offre aussi beaucoup de contrastes géographiques , même si + de 70% du territoire (grand comme 5 fois la Suisse) est situé au-dessus de 3000m.

Les montagnes les plus hautes se situent sur les frontières Sud et Est avec des sommets qui dépassent les 7000m et qui présentent un coté alpin avec des glaciers qui descendent très bas dans les vallées.Les autres montagnes , bien que hautes (5000m) , sont arides et dépourvues de neige .Cela ressemble plus à un décor de Far-West mais d'immenses lacs viennent apporter un large palette de bleu au milieu de ces paysages où ocre et jaune dominent.Et les vallées dévoileront au sud des cultures de coton et même de riz alors que les noyers et les peupliers sont autant d'oasis dans le désert des vallées de montagnes.

Et les amoureux d'histoire ne seront pas déçus non plus , entre l'architecture soviétique de la capitale , les vestiges des grandes transhumances qui ont traversé ce pays (route de la soie) et de nombreux lieux de pèlerinage islamistes au sud. Seul bémol , les voies de communication quasiment exclusivement par route dont seules quelques unes sont (vaguement!!)goudronnées.Le dos est un peu en vrac en fin d'étape ; merçi aux mains charitables et au gel miracle qui m'a remis d'aplomb.

Mais un pays au final très attachant , en particulier grâce à l'accueil de ses habitants , qui se plient réellement en 4 pour vous recevoir chez eux (seule possibilité d'hébergement la plupart du temps).

De beaux souvenirs que j'emporterai dans mon prochain voyage dont je n'ai pas encore défini la destination , même si j'ai un peu envie de retourner dans les Andes.

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25 avril 2017

2017 , cap sur la kirghizie

Besoin d'un peu de douceur cette année après les 4kg perdus sur les pentes de l'Everest.

Alors je me décide pour un petit bout de soie , de la route de la Soie bien sur.

Au menu , des visites de ces villes qui ont ravi Marco Polo , des lacs , des steppes , des yourtes sans oublier quelques escapades alpines car il y a aussi de grands sommets dans ce secteur (Pamir, Mont Lénine ) , sans oublier un peu de footing dans les temps morts car je participe au Paris-Versailles le lendemain de mon retour en France.

j'ai trouvé par relations une agence francophone dans ce pays , créée et animée par un guide savoyard , ce qui me garantit une bonne communication car mes connaissances en russe sont nulles , langue pourtant bien indispensable dans ces contrées qui faisaient encore partie de l'URSS ,il y a peu.

Le programme est bien adapté à mes souhaits et devrait donc m'assurer un moment unique dans un endroit du monde que je n'ai encore jamais visité.

Pas d'entrainement forcené non plus à prévoir , au-delà du nécessaire pour me maintenir en bonne condition physique. Je prévois 3 sorties par semaine à partir de juin , soit 1 footing court (1h environ) ,1 footing long (1h30-2h ) et une sortie montagne (1000m de dénivelé+).

J'ai hâte d'etre dans l'avion début septembre ;et qui sait , une femme voilée me servira -t-elle de guide dans ce pays mystérieux , telle Sheherazade auprès de son sultan.

pour vous tenter , une image de ce pays qui m'attend 

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6 décembre 2016

L'Everest , c'est fait !

enfin presque ......Le sommet , ce sera dans une autre vie et le camp de base , j'ai zappé car 3-4h à marcher sur une moraine pour voir 3 tentes et des sacs poubelles ne m'a pas tenté .Mais marcher dans cette région 22 jours , en sortant justement des sentiers battus pour éviter les embouteillages du sentier d'accès au camp de base reste une aventure unique . Au menu des montées (raides!) des descentes (aussi raides) des cols (5600m pour le plus haut) , et du riz , ........beaucoup de riz . Oublié la viande pendant 10 jours car un virus particulièrement nocif pour un estomac européen sévissait dans la contrée mais indigestion d'oeufs sous toutes leurs formes pour combler le manque de protéines .

Une partie haute (4000-5600m) et une partie basse (2500-4000m) qui donnent un aperçu assez complet de la vie des sherpas dans cette région . Environ 300km parcourus , 12000m de dénivelé cumulé positif et autant en négatif , 4kg de perdus et une bronchite qui m'a handicapé au-dessus de 5000m . Mais au final , une superbe aventure avec mon guide et mon porteur qui me parlaient de plus en plus népalais au fil des jours et m'ont initié aux subtilités de la musique traditionnelle népalaise (quoique 6 heures par jour pour m'encourager à marcher relevait un peu de l'overdose).

Et personne ne m'a demandé en mariage contrairement à mon premier voyage , signe indubitable que je vieillis ! Mais restent les images dont je vous fait partager la vue sur l'Everest , histoire de vous donner aussi envie d'y aller.

PS : contrairement aux images "catastrophe" de nos télévisions occidentales , le pays s'est vite redressé des conséquences du tremblement de terre dont les traces sont désormais très peu visibles tant à Kathmandou que dans la région de l'Everest .Mais ces images ont choqué les esprits et les touristes ne sont pas encore revenus , ce qui entretient la crise économique . Alors , si vous voulez aider ce pays , ALLEZ Y ! ils ont besoin de travailler et en plus ce sont des gens accueillants et adorables

everest

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